Mon avis :
Ai-je besoin de vous redire ici qu'Amélie Nothomb est une de mes romancières préférées si ce n'est ma préférée. Comme chaque année, le jour de sortie de son nouveau roman est synonyme de passage en librairie obligatoire.
Lu d'une traite, ce roman fait 157 pages. Et c'est 157 pages d'Amélie. Au début du roman, elle compare le travail de l'écrivain au vol d'un oiseau. Elle raconte sa passion pour les oiseaux, au travers les voyages de son enfance. J'ai trouvé la métaphore très belle entre le fait de voler et le fait d'écrire. Ce parallèle entre les deux m'a semblé très juste, cette peur de se jeter dans le vide.
La deuxième partie du roman se tourne sur la relation d'Amélie avec son père, elle revient sur l'écriture de Soif et Premier sang. J'ai été très touchée par leur relation. Elle nous raconte son quotidien, le rythme d'écriture acharné qu'elle s'inflige. J'ai beaucoup aimé en découvrir plus sur Amélie. Elle se livre intimement dans ce roman, peut-être comme jamais.
D'ailleurs j'organise à partir du 1er septembre un challenge sur mon compte Instagram " Un an avec Amélie" l'objectif est simple : lire un livre de la romancière par mois et échanger ensemble à ce propos.
J'ai lu tous ses romans mais j'avais très envie de les relire d'où la création de ce challenge afin de partager avec vous ces lectures. Alors si tu en as envie n'hésite pas à nous rejoindre (même en cours d'année)
Ma note : 4/5
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