Dans l’impasse de Needless Street se dresse une maison isolée et solitaire, à l’image de son propriétaire, Ted Bannerman, un étrange personnage. Dee, qui vient d’emménager dans la maison voisine, est persuadée qu’un terrible secret pèse sur les lieux. Ted aurait-il un lien avec cette disparition d’enfant survenue onze ans plus tôt dans les environs ? Que se passe-t-il vraiment derrière la porte de la dernière maison avant les bois ?
Quelque chose est bien enterré dans la forêt. Mais ce n’est pas ce que vous pensez... La Dernière Maison avant les bois est en effet l’un des romans les plus inattendus qu’on ait lus depuis longtemps – et certainement celui dont vous aurez le plus envie de parler cette année.
Mon avis :
Delilah restera marquée à vie par la disparition de sa petite sœur Lulu. Lors d'une journée familiale au bord d'un lac la petite fille échappe à la surveillance des adultes et ne sera jamais revu.
De nombreuses années plus tard toujours aucune piste pour résoudre cette disparition. Mais Delilah ne lâchera pas, pour elle un suspect a été trop vite évincé de l'enquête… elle va alors tenter de retrouver sa sœur sans l'aide de la police.
C'est un polar hyper prenant, j'ai de suite été plongé à la recherche de la petite Lulu. C'est un roman choral avec plusieurs personnages qui nous racontent l'histoire de l'intérieur.
Il a quasiment été impossible pour moi de le poser avant le dénouement final. Les personnages sont assez angoissant surtout Ted évidemment mais on a aussi un chat qui nous raconte l'histoire et c'est assez déroutant qu'un animal de compagnie nous parle.
Je n'ai pas vu venir le dénouement final, c'est quand même assez flippant ! Et surtout que j'étais loin d'imaginer tout ça, cependant il m'a manqué quelque chose, je pense que je me suis trop fait une idée pendant ma lecture et que la fin m'a "déçue".
C'était ma dernière lecture pour le Prix des Nouvelles Voix du Polar des Editions Pocket et j'ai adoré cette expérience. Maintenant il ne me reste qu'à voter !
Ma note : 4/5
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